JONE SOMETIMES
Bilbao, août. Jone, 20 ans, vit ses premières fois alors que la maladie de Parkinson de son père s’aggrave, deux événements qui coïncident en pleine Semana Grande de Bilbao. Jone doit concilier les tourbillons de la fête et de la foule, l’expérience de la liberté et de la joie avec de nouvelles responsabilités envers sa famille.
Bilbo, abuztuan. Jone (20 urte) aitarekin eta Marta ahizpa txikiarekin bizi da. Aitak lana utzi behar izan du bere parkinsonaren ondorioengatik. Aldi berean, Bilboko Aste Nagusiko jaiak hasten dira, eta Jone lehen aldiz maiteminduko da orduan. Uda horretan, Olgarekin –maite duen neskarekin– bizi duen hilezkortasun-sentsazioaren eta aitaren gaixotasunaren ondorioz bakarrik geratzeko beldurraren artean biziko da Jone.
Passé avec succès par de nombreux festivals, le premier long-métrage de la jeune réalisatrice Sara Fantova est une belle et généreuse surprise. Elle réussit à conjuguer avec une étonnante maîtrise les scènes de foule et les moments intimes entre lesquels son personnage principal est tiraillé. Elle parvient à maintenir son intrigue sur un fil sensible et tenu, portée par l’interprétation précise d’Olaia Aguayo. Distribué par nos amis de LA FiDÈLE, c’est une belle bouffée juvénile, festive et estivale qui nous arrive pour les fêtes de fin d’année !