DRIVE-AWAY DOLLS
Jamie et son amie Marian, sont à la recherche d’un nouveau départ, elles se lancent dans un road trip mais les choses tournent mal lorsqu’elles croisent en chemin un groupe de criminels bras cassés.
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
Tous publics, avec avertissement
Après THE TRAGEDY OF MACBETH de Joel Coen en 2021, c’est au tour de son cadet Ethan Coen de faire cavalier seul avec DRiVE-AWAY DOLLS.
L’influence de sa compagne Tricia Cooke (qui a également co-écrit et monté le film) est cependant prégnante dans ce road-movie lesbien, inspiré de ses folles années de jeunesse et qui essaie aussi de capturer l’esprit de liberté des cultissimes ARiZONA JUNiOR et THE BiG LEBOWSKi.
Si, passé une ouverture décapante, le film pêche par son humour inégal et sa construction narrative en roue libre, on mettra cependant au crédit du film la complicité des deux jeunes actrices (Margaret Qualley et surtout l’épatante Geraldine Viswanathan), dont la présence apporte l’énergie qui manque un peu à ce DRiVE-AWAY DOLLS, aussi déjanté soit-il.
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