ENTRE LES VAGUES
Rêver, foncer, tomber, repartir, rêver encore, et recommencer. Elles ont l’énergie de leur jeunesse, sa joie, son audace, son insouciance. Deux meilleures amies, l’envie de découvrir le monde. Margot et Alma sont inarrêtables, inséparables.
C’est l’histoire de deux âmes sœurs, unies par une passion commune pour le théâtre et le jeu. Anaïs Volpé, qui signe ici sa première réalisation, a un parcours d’autodidacte, et comme ses héroïnes n’a peur de rien, et ce qui donne cette précieuse intensité à ENTRE LES VAGUES, très chaleureusement salué à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes. Après la fantaisie des premières scènes, la vitalité contagieuse de ces deux filles qui abordent la vie avec un grand sourire, le film va nous secouer, nous emmener dans le grand huit des émotions et des larmes, sans jamais lâcher la main de ces deux personnages, incarnés – le mot est faible – par les magnifiques comédiennes Déborah Lukumuena (découverte dans DIVINES et LES INVISIBLES) et Souheila Yacoub (qu’on va retrouver aussi dans EN CORPS de Cédric Klapsich). Au-delà de cette histoire d’amitié d’une force inouïe, ENTRE LES VAGUES capte aussi à merveille l’ambiance de Paris, ses quartiers cosmopolites pleins de vie, ses ambiances sonores. Un film dont l’énergie furieuse, communicative, emporte tout sur son passage…
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